Notre chambre chez l’habitant s’est avérée être vraiment très agréable. L’appartement de notre étage comportait 3 chambres et 3 salles de bains, mais nous étions les seuls de l’étage. Du coup, on s’est un peu sentis chez nous.
Le matin, nous prenons la route de Rijeka, plein nord.
Sur la route, on aperçoit le pont qui relie le continent à l’île de Krk
On fait des détours par plusieurs petits villages au bord de l’eau
Pour remonter sur la route principale, les croates ont tracé tout droit ! (un peu comme des mongols)
Vue depuis le haut
L’île de Krk en face
La ville de Rijeka ne présente pour nous pas beaucoup d’intérêt. Il s’agit d’une ville assez étendue, avec peu de monuments remarquables. Elle dispose surtout d’un grand port, et de nombreuses industries.
Plus intéressante, par contre, est la petite ville d’Opatija. Cette petite ville s’étire le long de la plage sur une bande de terre d’une centaine de mètres de large, à flanc de colline. La ville à un certain cachet, on dirait un peu un mini-Monaco, avec hôtels de luxe, bijouteries, et restos branchés. Les plages ont l’air bien sympa aussi, et les petites criques donnent vraiment envie de piquer une tête.
On se ballade le long de la plage, puis à l’intérieur de la ville, sur la rue principale.
Un bel hotel
Une terrasse au bord de l’eau
Petite crique perso pour garer son bateau
Le Cow Boy et son bateau
Vue sur la promenade
Avec la « plage » (un peu bétonnée, certes)
Ca donne envie
Un jardin en centre ville
Et des graphs sympa
Encore une belle maison (celle là est à vendre pour 308’000 €… avis aux intéressés)
Petit yacht près du rivage
encore un hotel et sa plage privée
Pour le midi, on trouve la terrasse avec la vue la plus sympa de la ville. Malheureusement, il n’y a que la terrasse qui est sympa, parce que niveau bouffe, c’est assez moyen (voir limite mauvais)
La belle terrasse
En début d’après midi, on se dirige vers le ferry, à une 20aine de km de là pour rejoindre l’ile de Cres. La traversée se fait sans encombres cette fois (pas d’entourloupes versions croates, slovènes, etc.), juste 45 minutes à attendre que le ferry arrive.
Le ferry arrive
Puis tout le monde débarque (même le beau combi volkswagen jaune et blanc!)
20 minutes après avoir embarqué, nous voici sur l’île de Cres. Cette île étroite et montagneuse est assez peu peuplée. Elle est couverte de forêts, et offre des points de vue imprenables sur le Kravner (Region d’où l’on vient) et l’Istrie (celle où on ira demain). On y trouve quelques villages abandonnés ou semi-abandonnés, ainsi que la ville de Cres.
Nous commençons notre ballade par le petit village de Beli. Petit village médiéval, la moitié de maisons semblent à l’abandon ou sont déjà en ruine. L’autre moitié à été très bien entretenue ou bien restaurée, et le village à beaucoup de charme.
Sur les hauteurs de l’île de Cres
Petite crique isolée
En arrivant au village de Beli
Dans le village
La place centrale
Petite maison
Un autre village sur la route de la ville de Cres
Nous continuons ensuite en direction de la ville de Cres. La ville est coincée entre son port ou accostent de gros bateaux qui semblent destinés à moisir ici tellement ils sont rouillés, et une forêt qui ressemble beaucoup à de la savane africaine, mais avec des oliviers.
La visite de la ville est très plaisante, et le soleil couchant met bien en valeur les façades pastels des maisons sur le port.
Le port de Cres
Les maisons pastels
En repartant, nous faisons quelques courses pour le soir, puis nous nous mettons à la recherche d’un spot pour la nuit. Au bout d’une dizaine de kilomètres, et après avoir pris une route secondaire, nous trouvons notre bonheur en quittant notre route sur un petit chemin. Notre emplacement est face à la mer, avec vue sur l’Istrie et les criques de l’île de Cres. Avec le soleil couchant, et un picnic, le spectacle est magique.
La vue en arrivant
Petit picnic
Coucher du soleil
Un peu plus tard dans la soirée
Encore plus tard
On se fait un petit film (les infidèles – pas mal) avant d’aller dormir. Dans la nuit, on se fait réveiller par des bruits bizarres. On croit d’abord à des sangliers (eh oui, parce que le Lonely précise que l’île était jadis peuplée de plusieurs dizaines de milliers de moutons, mais que l’introduction des sangliers a complètement changé l’éco-système, et que les sangliers ont chassé les moutons…)
Bref, on entend des bruits bizarres, et on se met donc à la recherche de sangliers (enfin, discrètement : derrière nos rideaux, portes fermées et vérouillées…)
Grace à la lumière de la lune (presque pleine) on aperçoit les monstrueuses bêtes qui nous ont réveillé : 2 gros moutons paissent paisiblement à 2m de la voiture… Bref, tout va bien 😀
bonjour à vous deux, j’avoue que je n’ai pas lu tous les textes mais juste regarder les photos, en tout cas, je veux bien visiter ce pays rien que pour les ponts!