Il parait que cette nuit il a plu… Personnellement, je n’ai rien entendu ! Mais ce qui est clair c’est que ce matin on ne voit même plus le lac du Mont-Cenis qui est en contrebas, ni les montagnes. Et au moment de partir, il pleut. Bon, c’est la première fois depuis le début du périple, on ne va pas se plaindre. Jusqu’ici le temps était parfait (limite trop chaud par moments).
On quitte donc le lac du Mont-Cenis sans aller jusqu’à la frontière italienne. Peu d’intérêt vu le temps, on ne verrait même pas le paysage côté italien.
On retourne sur nos pas et on redescend jusqu’à Lansevillard. On fait quelques courses locales (du Beaufort « chalet d’alpage » notamment – voir explication ci-dessous) .
On retourne ensuite sur la Route des Grandes Alpes, et on prend la direction du Col de l’Iseran.
On passe d’abord par le Col de la Madeleine qu’on n’avait pas du tout identifié… mais du coup on s’arrête pour faire une p’tite photo.
On arrive ensuite au village de Bessans. Ce village est à l’origine d’une légende diabolique :
Bon, cela dit le village est fort sympathique avec quelques jolies maisons en pierre.
On démarre la redescente en direction de Val d’Isère. Le temps se lève et on commence même à apercevoir un peu de ciel bleu et quelques rayons de soleil. La route est très impressionnante, avec des reliefs vertigineux face à nous.
On arrive enfin à Val d’Isère et on tombe sous le charme de la station. Toutes les maisons ont une façade en pierres et bois, et cela donne un cachet à cette station. Bon, dès qu’on quitte la rue principale on retombe parfois sur des immeubles moches et sans charme, mais cela reste quand même très sympa. On se balade dans la station à pieds.
On fait quelques courses puis on quitte Val d’Isère en direction de Tignes. On arrive jusqu’au barrage de Tignes, puis on fait demi-tour et on monte au lac de la Sassière par une étroite route de montagne. Park4Night nous a conseillé un parking à l’écart de la civilisation (il nous avait aussi prévenu que la route était étroite, mais franchement, ça allait).
Le parking est certes isolé, mais n’offre que peu d’intérêt (en contrebas du lac, sans paysage…). On rebrousse chemin, et en faisant 200m on trouve un magnifique emplacement au bord du chemin, avec une vue époustouflante sur la retenue d’eau, le glacier, et Tignes.
Pour le moment, aucune voiture n’est montée ou descendue depuis qu’on est arrivés !
Bonjour les touristes,
C’est bizarre, personne d’autre que vous à Bonneval, personne à Val d’Isère… c’est plus tranquille que la Côte d’Azur.
😉 : pare-brise tout propre. La pluie a ses avantages.
Encore une fois voyage très instructif, plein de commentaires passionnants, entre autres sur des forts qu’on aurait pas visités, une maison improbable. Tout ça nous donne le goût de la curiosité.
Vous vous rapprochez tout doux de la maison et nous on part, en avion ou en voiture ? c’est l’aventure.
Bisous à tous les trois
Hum votre emplacement. Vous avez confiance, avec les éboulis juste à côté !!!
Sinon je suis très étonnée que ce soit si désert à Val d’Isère ?!?? A cause de la sale météo (qui n’a pas l’air non plus si mauvaise) ?
Bonne question. Je pense qu’on est arrivés juste près la fin de la saison estivale (28 août)
Vous avez une sacrée « bikeuse » !!!! Bonneval est toujours aussi jolie avec ses maisons en pierres sèches et ses toits en lauze…. Ahhh la Vanoise !!! Dommage pour la météo.
C’est trop beau!!!
Coucou ! (je viens de me rendre compte que j’avais honteusement oublié de passer voir votre périple !)
C’est rigolo le lac du Mont Cenis on l’a fait en rando raquettes il y a 2 ans, on était au ski à Val Cenis avec le beau-frère de Guillaume 🙂
Hallucinant comme ça change complètement le paysage en été, je ne reconnais rien du tout !!!
Bises
Il n’est jamais trop tard pour bien faire 🙂