Attention, article « hardcore ». Ames sensibles, vous voilà prévenues. La journée a été très contrastée, avec des hauts et des bas. Mais c’est aussi ça « l’aventure ».
Au réveil, de doux rayons de soleils réchauffent le camion. Nous prenons notre temps, puisque nous n’avons rendez-vous qu’à 9h45 pour savoir si nous pouvons nous joindre au bateau de 11h.
Nous sommes sur place à l’heure. Je vais faire la queue (encore) pour voir ce qu’il en est. On m’explique qu’il faudra attendre 10h45 pour savoir qui s’est enregistré pour le bateau de 11h, et voir s’il reste des places. Le temps passe. Pendant que j’essaie d’occuper Eden dans le hall d’entrée, Poupoussy prépare le « kit » pour Eden pour passer 2 à 4h sur le bateau : poussette, porte-bébé, repas, tétine, bavoir, goûter, jouets… On est parés à toute éventualité (enfin, c’est ce qu’on croit).
10h40, je me remets dans la queue. Je comprends que les 20 personnes qui sont autour de moi ont toutes des places sur liste d’attente. Il va falloir batailler. Des gens commencent à râler (des Français ?). Une dame explique aux râleurs que elle, cela fait 5 jours qu’elle attend… on n’est manifestement pas les bien moins lotis. Il est 11h, on est toujours sans nouvelles. Le staff est très sympa mais ne communique pas beaucoup, et quand ils le font, c’est de manière très laconique. 11h15, l’information tombe : il y aurait 11 places de disponibles sur le bateau de 11h (qui partira manifestement en retard). On ne sait toujours pas qui va partir et qui va rester à quai. Finalement je demande s’il n’y a pas moyen de nous indiquer si on a une chance de partir où pas (c’est pas que ça m’emmerde de faire la queue (en fait si), mais c’est surtout que si c’est sûr qu’on est trop loin sur la liste d’attente, autant nous le dire tout de suite). Le gars regarde ma réservation et me dit que nous sommes parmi les premiers sur la liste d’attente. Ouf. 2 minutes plus tard il me tend les billets et me dit de foncer vers le débarcadère car le bateau nous attend.
11h30, on s’arrête en dérapage (bon, OK, on s’arrête normalement) au débarcadère. On embarque toutes les affaires. Au dernier moment je décide de ne pas prendre ma veste bien chaude, mais uniquement le coupe-vent (le soleil est déjà bien haut et chauffe bien). Note pour plus tard : ne jamais se dire qu’on va avoir trop chaud. J’ai quand même des gants.
On monte sur le bateau et on démarre rapidement.
On installe les affaires (poussette, sac d’Eden…) au niveau du pont inférieur, on écoute les consignes de sécurité puis nous voilà partis. On monte à l’étage pour admirer le paysage et le départ du port.
Au début, la mer est plutôt calme, et on attend avec impatience les premières baleines. Cela fait une demi-heure qu’on navigue. On arrive au premier point où on peut habituellement voir des baleines. On sent une certaine excitation au niveau des passagers. Le capitaine met son casque et écoute son sonar. Au bout de quelques minutes, on nous annonce qu’a priori il n’y a pas de baleines dans cette zone aujourd’hui, et qu’on va donc retourner près du port pour partir de l’autre côté d’Andenes. Le capitaine met les pleins gaz et ça commence à tanguer un peu.
On voit les premiers passagers qui commencent à prendre des sacs à vomis et on plaisante sur leur faible niveau de résistance. On est toujours sur le pont supérieur. Cela fait un peu plus d’une heure qu’on est partis maintenant. On trouve un endroit sur le pont supérieur un peu caché du vent (quand on est en plein vent ça refroidit très vite – j’aurais dû prendre ma grosse veste – cf « note pour plus tard »). Eden est toujours sur le dos de Poupoussy, mais ça a l’air d’aller. Moi je m’assois un peu par terre pour me reposer. 5 minutes plus tard, je sens comme un coup de chaud. Les vagues ont elles eu raison de moi ? le temps de me lever et de dire à Poupoussy que je ne me sens pas bien, et je vomis une première fois, puis une deuxième par-dessus le pont. Bon, ça, c’est fait.
On attrape une des filles du staff et on lui demande si elle a un cachet « anti-sickness ». Elle nous l’amène et on l’avale. On ne va pas se laisser démonter par quelques vaguelettes. Je prends quand même le bateau tous les matins et tous les soirs depuis 3 ans, c’est pas une p’tite croisière dans la mer de Norvège qui va me rendre malade. Poupoussy décide de descendre dans la salle de repos pour poser Eden. Je reste en haut pour profiter de l’air frais et essayer de reprendre mes esprits.
A partir d’ici, nos récits étant assez différents, vous avez droit à deux versions de la suite de la croisière.
Récit Ohad :
Le bateau tangue de plus en plus. Difficile de tenir en place, il faut absolument tenir la barrière. Mais je m’accroche et essaie de regarder l’horizon et reste calme.
Au bout d’un certain temps, la fille du staff qui nous avait fourni les médocs vient me voir et me préviens « your wife is sick ». Je descends dans la salle de repos et vois Poupoussy complètement livide, tentant de tenir Eden. Je lui propose de prendre Eden à ma charge le temps qu’elle se remette. Cela n’a l’air de rien, mais cet acte est hautement courageux compte tenu de mon état. Dès que je suis rentré à l’intérieur, et ne voyais plus l’horizon bouger, la nausée a repris de plus belle. Je prends donc Eden avec moi et m’assois dans le couloir en face de la salle de repos, juste à côté de la porte de sortie ce qui me permet de profiter de l’air frais, et de pouvoir regarder l’horizon. Une gentille dame qui apparemment s’occupe du ménage du bateau et est semble-t-il devenue une espèce d’infirmière lors des croisières difficiles vient me donner des nouvelles de Poupoussy régulièrement (« elle s’est allongée », « elle dort », « ça va un peu mieux… »). Elle m’amène les affaires d’Eden que je n’ai pas pu prendre tout à l’heure (bonnet, écharpe). Je ne peux faire aucun geste qui me demande de quitter l’horizon des yeux sinon c’est la nausée qui revient systématiquement. A un moment donné je rentre dans la pièce pour prendre les gants d’Eden et les lui mettre. Au moment de me rassoir s’en est trop. Je prends ma fille sous le bras, je sors et je vomis. Et de 3 !
En revenant la gentille dame me dit qu’ils peuvent fournir des combinaisons intégrales contre le froid. C’est une riche idée que j’accepte avec plaisir. Je vais en chercher une avec l’énergie du désespoir, et la dame m’aide à l’enfiler (je suis frigorifié). J’en profite donc pour sortir et m’asseoir sur un banc à l’air libre, un peu caché du vent, mais avec vue sur l’horizon. Eden est avec moi et elle dort dans mes bras. Cela fait longtemps que nous naviguons. Je ne peux pas savoir l’heure qu’il est car ma montre c’est mon téléphone, qui est dans la poche de mon pantalon, à l’intérieur de la combinaison. Toute tentative d’ouverture de la combinaison (outre le fait qu’elle nécessiterait de réveiller le bébé), me ferait me détacher de l’horizon et serait un facteur de risque pour un retour de la nausée. J’estime le temps de navigation à environ 2h. La gentille dame me dit que lorsqu’on apercevra la baleine, elle prendra Eden pour que je puisse aller faire quelques photos. Trop sympa !
Le moment tant attendu arrive enfin. La fille du staff annonce qu’une baleine est en vue. Je donne Eden à la gentille dame qui la donne à Poupoussy (qui apparemment irait un peu mieux). Je prends mon appareil, je monte sur le pont supérieur, je vomis, puis je m’accroche à la barrière et commence à observer.
La première chose que je vois, c’est ce fameux jeyser qui surgit de l’eau.
Puis apparait une masse gris foncé. On est assez loin au début, mais ça a l’air énorme. Le bateau se rapproche tout doucement, moteur quasiment éteint. Ça tangue fort, surtout à l’avant du bateau, sur le pont supérieur. Je me concentre et arrive à me retenir. La baleine apparait enfin. Elle est à quelques mètres de nous, peut-être 10-15m. Elle est immense.
Il s’agit d’un cachalot, car son souffle est orienté vers l’avant et penche à gauche (encore un truc qu’on a appris hier au whale center). Nous avons droit à plusieurs respirations. A un moment donné le capitaine crie « Diving ». La baleine va plonger. Tout le monde retient son souffle. On voit le corps de la baleine qui se cambre vers l’avant, puis sa queue sort de l’eau et plonge à la verticale. Quel spectacle magique. Quelle grâce.
Pour vous donner une idée, voilà ce que ça donne en mode rafale :
Je redescends pour voir comment vont les filles. Poupoussy ne va pas bien du tout. Dès qu’elle tente de s’occuper d’Eden la nausée lui revient. Je prend donc Eden à nouveau avec moi on s’assoit à l’extérieur. On espère rentrer, maintenant qu’on a vu notre baleine, mais le capitaine aurait aperçu une autre baleine sur son sonar, et tente de la repérer. Eden est un ange. On a l’impression qu’elle a compris que nous ne sommes pas à 100% de nos capacités. Elle n’a pas pleuré / chouiné / réclamé quoi que soit jusqu’à présent.
Le staff annonce la deuxième baleine. Je redonne Eden à sa mère et remonte sur le pont supérieur (cette fois sans vomir !). La baleine apparait très loin.
Puis disparait. Tout le monde la cherche, puis elle réapparait quelques minutes plus tard à l’opposé, de l’autre côté du bateau. Tous les passagers changent de côté. Elle disparait à nouveau, puis réapparais finalement devant le bateau. Elle part vers l’ouest, et le bateau la suit. On peut la voir souffler et respirer. Son corps allongé brille au soleil.
Elle respire plusieurs fois, puis plonge elle aussi. Nous avons cette fois droit à l’angle de vue idéal pour la photographier par derrière. Spectacle magique.
Est-ce que cela vaut les multiples heures de souffrance que nous avons vécues ? je ne saurais répondre à cette question. Mais en tout cas, l’émotion ressentie à cet instant fait oublier pas mal de choses.
Je reprends Eden tandis que le bateau prend enfin la direction du retour. J’ai l’impression que nous naviguons depuis des heures, sans savoir exactement l’heure qu’il est (cf. montre, iphone, poche, combinaison…). A un moment donné, Eden me dit « miam miam ? ». Je comprends qu’elle a faim. Je pensais que Poupoussy lui avait donné son repas de midi en descendant dans la chambre de la torture pièce de repos, au début (j’apprendrai plus tard qu’il n’en est rien – pauvre enfant !), mais peut-être est-ce l’heure du gouter ? Les membres du staff ont ouvert un stand avec des soupes de légumes et des boules de pain en libre service. Je n’en ai pas pris jusque-là (je ne le sentais pas du tout). Plutôt que d’aller chercher le gouter d’Eden dans la salle de repos – trop risqué – je préfère demander à un gars qui allait vers le stand s’il peut me ramener une boule de pain. Eden la terminera entièrement (elle avait la dalle, la pauvre !) et enchainera avec 3 biscuits que le gars lui avait également ramenés. La fille du staff a annoncé 2h de navigation jusqu’au port. Je ne l’annonce pas directement à Poupoussy pour ne pas la décourager. Au bout d’une heure je la vois qui apparait enfin debout. Ça a l’air d’aller mieux. Elle récupère Eden qui a été un amour avec moi. Elle est restée assise sur moi sans broncher pendant plus d’une heure. Si elle avait tenté de jouer / faire des conneries, je ne sais pas si j’aurais eu la force de la suivre.
On s’approche du rivage. On aperçoit les falaises d’Andenes, le phare.
La délivrance n’est plus très loin.
On arrive enfin au port.
J’enlève ma combinaison récupère toutes les affaires et on descend du bateau. Je regarde ma montre : il est 20h15 !!!
On est partis à 11h30 ! on est donc bien loin des 2-4h annoncés… comment est-ce possible ? comment peut-on avoir un telle dérive. On n’en veut pas particulièrement à l’équipe du Whale Safari (ils ont tous été adorables pendant tout le trajet) et on a effectivement pu voir des baleines (enfin, moi), mais globalement, on a l’impression d’une désorganisation généralisée de cette entreprise. On pense leur écrire un petit mail pour leur faire part de notre incompréhension.
Récit poupoussy
« Je descends dans une salle intérieure aménagée avec des bancs et des tables pour qu’Eden puisse se reposer un peu (et moi aussi – j’en ai un peu plein le dos de la porter depuis 2h). Dès que j’arrive dans la salle, c’est le drame. Je sens comme une bouffée de chaleur. J’enlève quelques couches de fringues (calmez-vous les mecs), je me ventile, puis je vomis.
A partir de ce moment-là, je n’arrive plus à me relever. A chaque fois que je bouge, la nausée revient, et je vomis. J’ai l’impression d’être dans une machine à laver (option lavage intense 7h), et de ne pouvoir en sortir que lorsque le bateau sera à quai. J’aimerais appeler Ohad, pour qu’il vienne récupérer Eden mais impossible de me relever ni de sortir de la pièce. Finalement, il y’avait une dame qui s’occupait du ménage sur le bateau pendant le trajet. Elle s’est transformée en infirmière attitrée de tout le petit monde de la salle de repos. Elle distribuait / récupérait les sacs à vomis, et de papier essuie-tout. Elle faisait le messager entre les « blessés » et les « pseudo-valides » à l’extérieur. Elle fait appeler Ohad qui vient récupérer Eden. Je reste allongée pendant presque tout le trajet. Lorsque le staff appelle pour qu’on vienne voir les baleines, je n’ai pas la force de sortir. Mes « collègues » de la salle de repos sont sorties. Lorsqu’elles sont revenues, elles ont toutes vomi. Après la première baleine je n’ai qu’une envie, c’est de rentrer au port, mais j’apprends qu’on va aller en voir une autre. Exaspération. Pour couronner le tout, parmi les autres « blessés » dans la salle, il y’avait 3 femmes d’une famille polonaise. Au moment où je commençais à vomir toute la famille est arrivée dans la salle (car une des filles n’était pas bien). Un des gars s’est ramené avec un hot-dog dégoté d’on ne sait où (en plus, avec du bacon). Je ne sais pas si vous avez essayé, mais l’odeur d’un hotdog au bacon quand on a la nausée, c’est très efficace. J’ai vomi.
Voilà un bon résumé de ma journée bien remplie. Donc pas de baleines pour moi… »
Retour au récit commun
De retour sur la terre ferme, mais encore un peu secoués, on fait les 100m en voiture qui nous séparent de notre emplacement d’il y a deux jours. C’était face à la mer, pas loin du débarcadère pour le ferry que nous devons prendre demain matin, et à l’abri du vent. On couche Eden après l’avoir remerciée d’être aussi sympa avec nous.
On se remet de nos émotions et on se raconte nos journées respectives (même si on était sur le même bateau, on n’a pas fait / vu la même chose). On n’a pas la force de faire à manger, alors on commande une pizza au même endroit qu’hier. Vers 23h, alors que j’écris l’article du jour, la lumière devient intéressante. Je vais faire un premier tour et prend quelques photos.
Je décide de ressortir vers 23h30 pour voir le soleil de minuit. Cette fois le ciel est relativement dégagé.
Cette sortie est une des plus fantastiques que j’ai pu faire pendant ce voyage. La lumière est indescriptible. On a peine à croire qu’il est déjà 23h30, minuit, 1h du matin.
Le coucher du soleil s’éternise. Au lieu de descendre à la verticale, le soleil se « couche » quasi à l’horizontale. On pense que dans quelques secondes on ne le verra plus, mais il est toujours là, et il se déplace sur l’horizon. Du coup on a plein de temps pour le prendre en photo.
Ci-dessous une (longue) série de photos hétérogènes pour bien montrer le phénomène. Regardez la position du soleil par rapport au phare, puis à l’entrée du port…
Vers 1h il se couche enfin !
Je m’aventure un peu dans la « ville » et fais quelques autres photos.
Je vais ensuite jusqu’au phare. Là aussi, les lumières sont incroyables.
Je retourne au camion à 1h30, fatigué mais heureux de cette sortie inattendue mais incroyable.
Et beh! comme ça doit etre rageant de se trouver si malade après avoir tant attendu ce moment!!! je compatis!
mais quand même, les photos sont incroyables, la grâce, c’est bien le mot! et ses couleurs, pfiouuu, terrible!!
quelle journée!
E-NOR-ME !!!!
Je suis juste déçue pour Poupouss….
Et un big up à Eden pour son comportement exemplaire <3
Je compatis COMPLETEMENT, le mal de mer c’est vraiment une sensation horrible. Ca paralyse totalement, ça prend le pas sur tout le reste. 9h de mal de mer, argh! Je ne m’imagine même pas m’occuper d’un bout’chou dans cet état ! et l’odeur de hot dog, quelle horreur!!!
Votre histoire me rappelle (en beaucoup plus long) notre excursion aux îles Similan en Thaïlande, sur un tout petit bateau avec seulement 5 places à l’extérieur (toutes squattées du début à la fin) et les autres places à l’intérieur, quasi sans visibilité dehors. En plus le bateau était conduit par un fou du volant qui s’amusait à faire des grandes gerbes d’eau en prenant des virages à 90° ou presque. A partir du moment où j’ai eu le mal de mer, plus moyen de m’en débarrasser, même revenue sur terre (Jérémy, lui, se portait comme un charme). Le mal de mer m’a même déclenché une crise de tétanie, à force d’hyperventiler pour essayer de reprendre le dessus… J’avais pas du tout profité de l’excursion… Et depuis cette expérience, j’ai même réussi à avoir le mal de mer sur un vaporetto, à Venise! 🙂 (et dans le train…).
Sinon, j’ai un collègue qui est parti en Amérique du Sud en bateau avec sa copine, 3 semaines de traversée à avoir le mal de mer en permanence… ils n’avaient jamais eu le mal de mer avant mais là, ils ont été servis !
En tout cas c’est une sacrée chance qu’Eden ait été sage comme une image et n’ait pas eu le mal de mer – parce que, s’occuper d’un bébé qui vomit quand on est soi-même malade… bof bof. Un vrai p’tit ange!
Heureusement que l’un de vous deux a vu les baleines, quand même. Merci de vous être dévoués pour nous offrir ces photos! En fait, est-ce qu’il y a des passagers du bateau qui n’ont pas été malades ? Et est-ce que vous vous êtes remis de ces émotions depuis ? 🙂
honnêtement, j’ai l’impression qu’au moins 3/4 des passagers ont vomi au moins une fois. j’ai vu des gens qui n’ont pas pu bouger pendant toute la journée. d’autres qui enchainaient vomi-bag sur vomi-bag…
sinon pour moi ca va mieux depuis… poupoussy se remet un peu plus doucement 😉
Coucou les amis !
Premiere fois que je poste un commentaire !! Mais j’ai rattrapé mon retard de découverte des articles !!
Quelle aventure ! Moi qui n’ai absolument pas le pied marin, je vous jure que j’ai souffert avec vous pendant tout le récit et j’ai même un petit peu la nausée après la lecture ;-)))))))
Mais j’imagine que tout ce que vous vivez efface facilement les effets de ce petit tour en bateau ;-))
Profitez bien !
Gros bisous
Mimi
merci mimi !
et bon anniversaire !!!!!!!!!!!!!
Oh merci, vous êtes trop mignons de penser à moi !!
Gros bisous et bonne continuation !!!
Quelle journée !
J’espère qu’avec un peu de recul vous en retiendrez surtout le meilleur. C’est dommage pour Poupoussy en revanche 🙁
En tout cas vu d’ici c’est magnifique ! 🙂
Les photos sont justes grandioses. Pour çe qui est du mal de mer j ai du mal à me rendre compte. J’avais pas l impression que ça tanguait tant que cela… Dans tous les cas merci pour vos sacrifices et l abnégation de vous pour nous faire vivre ces instants magiques.
honnetement, ca tanguait beaucoup.
j’ai pris la video à un moment ou c’etait possible, mais a d’autres moments je n’aurai pas ete capable de sortir le telephone…
Effectivement si ca c était tranquille je peux imaginer le pire. Mais sérieux 9:00 sur un bateau, chapeau bas. Ainsi que pour la petite. Bonne nuit
Bon pied, bon oeil petite Eden!!! Bravo!!! Quelle journée… Et quelle rencontre…. Magique !!! Vous ne risquez pas de l’oublier celle là…
En réponse à Poupoussy: nous sommes au bassin d’arcachon pour le moment et allons déposer les enfants à la colo dimanche prochain. Bonne route et un gros lalalououou à Eden.
Alors chapeau l’artiste, je suis baba devant tes couchers de soleil car moi aussi je suis fana de cela.
Maintenant la batterie de ton appareil supporte t elle le mode rafale ?
JPP
Récit poignant !
Je ne suis pas du tout sujet au mal de mer, donc je ne peux surement pas ressentir ce que vous décrivez tous les deux, mais on comprends bien la difficulté à surmonter cette épreuve. Bravo à vous.
La journée a bien fini sur un magnifique coucher de soleil, c’est cool 🙂 Encore une chouette série de photos.